La préparation de votre séance d’enregistrement est essentielle pour obtenir la qualité de son que vous recherchez. Nous vous proposons une liste de conseils pratiques pour réaliser avec efficacité vos sessions de studio. Attention ! Cela implique notamment de connaitre sur le bout des doigts les parties à enregistrer.
Après un déchiffrage soigné on se doit de travailler dans le détail de la mécanique mesure par mesure, l'exécution doit être parfaite et concise au tempo du morceau. Si vous avez des difficultés à exécuter un passage, n'hésitez surtout pas à redescendre le tempo jusqu'au mouvement acquis puis, petit à petit remonter le tempo (même s'il vous faut plusieurs jours).
Prendre l'assurance du mouvement est la chose la plus importante. C'est à ce moment-là que l'on peut se permettre d’accélérer et c’est par la suite seulement que l’on s'intéresse de plus près au son que l'on veut générer (« matière sonore »).
Bien choisir le timbre que l'on va développer tout au long du titre. Parfois un seul suffira, parfois il en faudra plusieurs. Donnez libre court à votre imagination pour enrichir vos timbres dans la direction où vous vous serez dirigé. De cette option vous pourrez prendre une plus grande part dans l'interprétation de votre partie. Le travail de la dynamique est essentiel pour optimiser les gains des pré-amplis en studio. Au plus votre dynamique sera maitrisée au plus votre son sera restitué de manière optimale. Maitrisez toutes vos attaques ou frappes ou hauteurs en définissant dans un premier temps votre seuil le plus bas et le plus haut de votre morceau.
Par expérience nous vous conseillons de faire une moyenne des deux plages et de sensiblement osciller dans les nuances autour de ce seuil fixé. Grâce à cette maîtrise les micros de haute qualité associés aux pré-amplis pourront restituer une qualité de son irréprochable.
En ce qui concerne le matériel il sera préférable pour les guitaristes et les bassistes d'avoir des instruments bien réglés et un matériel en bonne condition pour éviter les problèmes d'accordage ; des cordes et jacks quasi neufs, des transfos adaptés aux pédales (à moins que vous vouliez un son roots).
Pour les batteurs nous préconisons de vérifier que leurs pédales de grosse caisse et de charleston soient bien graissées et que les peaux soient quasi neuves et « rodées ». Au préalable travailler sur l’accordage de la batterie. En voici un exemple. Accorder vos fûts de manière à pouvoir jouer la mélodie de la marseillaise. La grosse caisse pour la première note, le tom basse pour la deuxième note, et ainsi de suite pour les autres tom. La caisse claire quant à elle, devra être réglée en fonction du style, plus au moins tendue avec plus ou moins de timbre.
Pour les claviers, un étalonnage des sons en sortie sera requis. Les banques de sons devront être répertoriées et prêtes à jouer.
Au mieux vous vous serez préparé, au plus vous pourrez profiter de cette unique occasion de faire passer vos émotions. Sur cette question il est impératif de soulever que le contrôle de soi-même est de rigueur et qu'il faut toujours le garder pour ne pas se laisser submerger. Se laisser aller tout en gardant le contrôle n’est pas facile. Pour ça il est important de vous écouter jouer comme si ce n'était pas vous. Soyez un récepteur, exacerbez vos sens, votre sensibilité, laissez-vous aller tout en vous concentrant sur le son que vous produisez. Rentrez dans la transe du mouvement et du son produit.
Tous ces exercices une fois pris en compte, ne vous quitteront jamais…
Après un déchiffrage soigné on se doit de travailler dans le détail de la mécanique mesure par mesure, l'exécution doit être parfaite et concise au tempo du morceau. Si vous avez des difficultés à exécuter un passage, n'hésitez surtout pas à redescendre le tempo jusqu'au mouvement acquis puis, petit à petit remonter le tempo (même s'il vous faut plusieurs jours).
Prendre l'assurance du mouvement est la chose la plus importante. C'est à ce moment-là que l'on peut se permettre d’accélérer et c’est par la suite seulement que l’on s'intéresse de plus près au son que l'on veut générer (« matière sonore »).
Bien choisir le timbre que l'on va développer tout au long du titre. Parfois un seul suffira, parfois il en faudra plusieurs. Donnez libre court à votre imagination pour enrichir vos timbres dans la direction où vous vous serez dirigé. De cette option vous pourrez prendre une plus grande part dans l'interprétation de votre partie. Le travail de la dynamique est essentiel pour optimiser les gains des pré-amplis en studio. Au plus votre dynamique sera maitrisée au plus votre son sera restitué de manière optimale. Maitrisez toutes vos attaques ou frappes ou hauteurs en définissant dans un premier temps votre seuil le plus bas et le plus haut de votre morceau.
Par expérience nous vous conseillons de faire une moyenne des deux plages et de sensiblement osciller dans les nuances autour de ce seuil fixé. Grâce à cette maîtrise les micros de haute qualité associés aux pré-amplis pourront restituer une qualité de son irréprochable.
En ce qui concerne le matériel il sera préférable pour les guitaristes et les bassistes d'avoir des instruments bien réglés et un matériel en bonne condition pour éviter les problèmes d'accordage ; des cordes et jacks quasi neufs, des transfos adaptés aux pédales (à moins que vous vouliez un son roots).
Pour les batteurs nous préconisons de vérifier que leurs pédales de grosse caisse et de charleston soient bien graissées et que les peaux soient quasi neuves et « rodées ». Au préalable travailler sur l’accordage de la batterie. En voici un exemple. Accorder vos fûts de manière à pouvoir jouer la mélodie de la marseillaise. La grosse caisse pour la première note, le tom basse pour la deuxième note, et ainsi de suite pour les autres tom. La caisse claire quant à elle, devra être réglée en fonction du style, plus au moins tendue avec plus ou moins de timbre.
Pour les claviers, un étalonnage des sons en sortie sera requis. Les banques de sons devront être répertoriées et prêtes à jouer.
Au mieux vous vous serez préparé, au plus vous pourrez profiter de cette unique occasion de faire passer vos émotions. Sur cette question il est impératif de soulever que le contrôle de soi-même est de rigueur et qu'il faut toujours le garder pour ne pas se laisser submerger. Se laisser aller tout en gardant le contrôle n’est pas facile. Pour ça il est important de vous écouter jouer comme si ce n'était pas vous. Soyez un récepteur, exacerbez vos sens, votre sensibilité, laissez-vous aller tout en vous concentrant sur le son que vous produisez. Rentrez dans la transe du mouvement et du son produit.
Tous ces exercices une fois pris en compte, ne vous quitteront jamais…